Peut-on connaître les raisons de votre retrait ?
Je me suis retiré car la situation est encore floue et rien n’augure d’un lendemain certain...Soyez plus explicite…
On essaye de m’endosser toute la responsabilité du recrutement effectué. Jusqu’à présent, on ne m’a pas payé et, à chaque fois, le président nous fait part de la rentrée de la subvention des pouvoirs publics...
Je me suis retiré car la situation est encore floue et rien n’augure d’un lendemain certain...Soyez plus explicite…
On essaye de m’endosser toute la responsabilité du recrutement effectué. Jusqu’à présent, on ne m’a pas payé et, à chaque fois, le président nous fait part de la rentrée de la subvention des pouvoirs publics...
On croit savoir que même des joueurs se sont retirés. N’est-ce pas ?
Effectivement, il y a Chaouaoua, Talbi et Nasri.
Effectivement, il y a Chaouaoua, Talbi et Nasri.
Mais on dit que ces joueurs n’ont pas convaincu l’entraîneur…
Pas du tout. Ce sont d’excellents éléments, mais le président n’a pas tenu les promesses qui leur avaient faites.
Pas du tout. Ce sont d’excellents éléments, mais le président n’a pas tenu les promesses qui leur avaient faites.
Qu’est-ce que vous reprochez à Mazar ?
Son discours est plein de contradictions. Par exemple, concernant les stages, personne ne sait s’ils se dérouleront à Alger ou en Tunisie. Et même celui d’Alger n’est pas sûr...
Son discours est plein de contradictions. Par exemple, concernant les stages, personne ne sait s’ils se dérouleront à Alger ou en Tunisie. Et même celui d’Alger n’est pas sûr...
Pensez-vous que le CSC puisse jouer les premiers rôles durant cet exercice ?
A ce train-là, je ne le pense pas, car l’accession ne se prépare autrement, pas à travers des discours.
A ce train-là, je ne le pense pas, car l’accession ne se prépare autrement, pas à travers des discours.
Vous êtes plutôt pessimiste, n’est-ce pas ?
Il y a de quoi. Quand on continue à distribuer des chèques et l’on promet à tort et à travers, il y a de quoi être pessimiste.
Il y a de quoi. Quand on continue à distribuer des chèques et l’on promet à tort et à travers, il y a de quoi être pessimiste.
Donc, le CSC n’arrête pas de manger du pain noir…
C’est désolant de le dire, mais c’est vrai. Et la goutte qui fera déborder le vase, ce sera, lors de l’exercice 2008/2009.
Un dernier mot…
J’espère que Mazar saura reprendre la situation en main et saura redonner au CSC son lustre d’antan. Ce ne sont plus les promesses qui comptent, mais le terrain