Il ajouta : « Quand on voit que certains ‘‘très proches’’ du club manifestent leur mécontentement à l’ouverture du score en fin de match, cela devient très grave pour nous. Je me débats dans des problèmes de tout ordre et je garde l’espoir de passer à la vitesse supérieure, mais le plus décourageant restent les faux problèmes qui nous pourrissent la vie. A défaut de nous concentrer sur l’enrichissement du club et autres initiatives positives, on se limite à gérer des situations burlesques et sans aucune importance pour le club. Il y a aussi cette absence de réaction de notre ensemble sur le terrain, car je suis persuadé que nous sommes très loin de ce que nous voulions mettre en place. En dépit d’une victoire tirée par les cheveux, je manifeste clairement mon mécontentement. Si les choses restent en l’état, que ce soit au niveau de l’équipe ou de l’administration, je pourrais revoir bien des choses et ce dans un temps très court. Je le dis sans ambages, si les choses persistent dans ce sens je me verrais dans l’obligation de revoir ma position. » Des paroles qui sous-entendent que le président Ounis est en train de vivre des moments de forte pression de la part de certains qui ne veulent que les résultats immédiats. Une situation qui n’est pas nouvelle au sein du CSC, car tous les présidents qui se sont succédé ont eu à faire face aux mêmes opportunistes qui se croient plus Clubistes que les autres.
T. Aggoune - Le buteur