Stade : Benhaddad (Alger)
Affluence : nombreuse
Arbitres : Bouhani, Omari, Mezroua
Buts : Brinis (72’) (RCK) ; Derrahi (6’sp) (CSC)
Avertissements : Slimani (5’), Khedis (65’), Bencherifa (75’) (RCK) ; Derrahi (28’), Soualah (72’), Kabri (75’) (CSC)
RCK : Slimani, Boussaïd, Khellaf, Hosni, Khedis, Bencherifa (Hammouda 90’), Chouieb, Benyahia, Madi (Chéraga 76’), Brinis (Banouh 80’), Hanifi
Entraîneur : Medjahed
CSC : Daïf, Yediou, Khellaf (Kebia 50’), Soualah, Bensali, Zmit, Ferhat (Lemaïci 67’), Hadjadj (Ghodbane 82’), Cheniguer, Kabri, Derrahi
Entraîneur : Khezzar
Alors qu’il devait être le sommet de la journée, le choc RCK-CSC n’a pas tenu toutes ses promesses. Le leader de la L2 n’a pas bien défendu son statut face à une jeune équipe koubéenne qui a tardé à rentrer dans le match. La première période n’a pas été à la hauteur et les deux équipes ont fourni une piètre prestation. A l’exception du penalty transformé par Derrahi à la 6’, ce half est à mettre aux oubliettes. En deuxième période, les Koubéens étaient meilleurs sur tous les plans. Ils ont tout simplement étouffé physiquement leurs vis-à-vis. Ce qui leur a permis d’égaliser à la 72’ par l’intermédiaire de Brinis. Malheureusement, l’arbitre Bouhani a décidé autrement. Il a tout fait pour garder ce score de un partout. En somme, les Vert et Blanc manquaient surtout d’une véritable source de motivation, à savoir l’argent. Les Constantinois, on leur a promis un pactole de 10 millions de centimes en cas de victoire à Kouba. L’accession ne viendra pas gratos…
le butteur
