Un stratagème tablant sur la rentrée de 600 millions de centimes dont Bouhlassa pourrait en disposer à sa guise. C’est d’ailleurs ce qui irrite au plus haut point l’ensemble de la famille clubiste qui estime que cette manœuvre est déstabilisatrice à plus d’un titre.
Comparativement aux autres clubs, qui avancent à grands pas, au CSC on semble favoriser la perte de temps et surtout entretenir l’amalgame. Cette mauvaise habitude a été déjà pénalisante à plus d’un titre durant les saisons écoulées, mais étrangement les leçons ne semblent guère avoir été retenues par les dirigeants qui se sont succédé, et ce, en dépit de leurs déclarations fracassantes quant à l’amour qu’ils portent pour leur club.
Toujours est-il que du côté de la direction de la jeunesse et des sports, M. Gharbi nous a, de nouveau, confirmé l’intention de sa structure de ne pas se taire. Au contraire, elle semble décidée à contraindre Bouhlassa à tenir son assemblée générale dans les meilleurs délais possibles.
Alors que l’AG tarde à se tenir, le doute s’est installé chez les joueurs, notamment ceux approchés par le postulant à la présidence, M. Alam. Ils trouvent le temps long, eux qui ont des contacts avec des clubs mieux structurés et possédant plus de moyens. Dans ce méli-mélo, Bouhlassa dit à qui veut l’entendre que le temps est suffisant et qu’il mettra vite sur pied une assemblée générale qui semble être l’unique souci des Clubistes actuellement.
Tahar Aggoun - Le buteur