Bien au contraire, ce sont eux qui ont entretenu l’amalgame et le doute. Raison pour laquelle ils s’opposent à leur éventuel retour. Ils comptent d’ailleurs saisir l’administration du président Bouhlassa à ce sujet. Encore une affaire sur les bras d’un président qui ne sait plus où donner de la tête. Elle est loin encore la sortie du tunnel pour un CSC pas près de connaître le calme et la sérénité voulus.