Chers amis (es) forumistes et supporters du CSC.
Un article paru ce jour ( lundi 17 Août 2009 ) dans les colonnes du journal local " El Acil " m'a laissé trés perplexe. Ne connaissant pas personnellement le jeune Zaki dont il est question. L'avis de nos chers Clubistes me parrait indispensable.
S'agit il d'un cas réel de Hogra ou tout simplement d'un article maison faisant sortir un proche de l'anonymat ou bien encore d'autre chose dont les dessous restent aussi....profonds ?
En effet cet article fait ressortir quelques incohérences. D'une part, autant l'auteur affirme que ce jeune talent a été " Caché " à l'ancien entraineur Daniel ( sic ), lequel entraineur était enrolé au CSC par l'ancien président, autant le même auteur de l'article relève que la marginalisation de ce jeune Zaki serait le fruit de mésentante entre les 2 clans , celui de Ounis et de l'ancien président. Là on s'interroge de quels clans il s'agit ? si ce n'est de noter que l'auteur ouvre une brèche à un cas relevant de la pathologie psychiatrique.
Toujours utile qu'à notre avis un droit de réponse de la part de celui ,dont l'auteur a bien voulu taire le nom en gardant l'anonymat (??? ), et/ou des responsables du Club nous parait impérative à des fins de mettre de la lumière sur ce cas dont nous ne pouvons en aucun cas tolérer s'il s'agirait réellement de Hogra, bien que nous en doutons !
Zaki, un avenir brisé en coulisses !
Le CSC entame la saison 2009/2010 par une défaite. Un début inquiétant qui doit donner à réfléchir aux dirigeants d'une équipe qui souffre d'une instabilité chronique depuis presque une décennie.
A El Mohammadia, le CSC version Ounis a perdu avec l'"art et la manière". L'équipe est apparue en très petite forme. Mentalement, physiquement, techniquement et tactiquement, elle est carrément à côté de la plaque; c'est à dire sans grande conviction. Au vu de sa mauvaise prestation à "Barigou", cette équipe ne donne pas l'impression de vouloir jouer pour l'accession.
En aucun moment de la rencontre, les camarades de Khellaf n'ont fait preuve de volonté. Lorsqu'on se contente de limiter les dégâts à l'extérieur, on n'a pas le droit de prétendre jouer les premiers rôles dans un championnat dur, où le moindre point perdu pourrait coûter cher dans le décompte final. Cela, Ounis et Mehimdet le savent. Cette année, il n'y a qu'un seul ticket pour la Nationale I et la concurrence sera vraiment rude à tous les niveaux : sur le terrain et surtout dans les coulisses !
Ounis qui s'est présenté comme le sauveur, après une fin de saison 2008/2009 chaotique, est-il en mesure de faire mieux que son prédécesseur ? C'est encore trop tôt pour répondre à cette question. Toutefois, un sujet pertinent et d'une gravité extrême nous oblige à l'interpeller personnellement.
L'année dernière, tous les Sanafir avaient été agréablement surpris par les qualités techniques d'un jeune joueur à l'avenir prometteur. un attaquant racé et une valeur sûre qui jouait en catégorie Junior. Benhenia Zaki, il s'agit de lui, est un footballeur pétri de qualités. Physique au point, maîtrise technique parfaite des deux pieds et de la tête, sens du but élevé et surtout des qualités morales exceptionnelles.
Il avait été aligné en équipe première lors des derniers matchs de la saison dernière. Sur tous les plans, il vaut mieux que certaines nouvelles recrues vieillissantes et en fin de carrière. Bien mis en confiance, ni Belghomari, ni Farid Touil ne tiendront la comparaison avec lui.
L'année dernière, on a tout fait pour le marginaliser et afin que Daniel ne le découvre pas... Et cette année, on le met carrément à la rue ! Victime de la lutte sordide que se livrent les clans Mazar et Ounis, Zaki risque de voir sa carrière brisée.
Son unique et seul défaut : il n'est l'enfant de "Flen" ou de "Felten". Il n'a été recommandé par aucune "grosse légume".
Il est issu d'une famille modeste. Pur produit du CSC où il a grimpé tous les échelons depuis la catégorie Minimes, Zaki est aujourd'hui dans la rue, par la faute de dirigeants qui n'honorent pas le CSC, le véritable doyen.
Incroyable mais vrai, déçu par le sort réservé à son fils, son père est allé voir de près du côté de la direction du club. Il fut très mal reçu par un des adjoints d'Ounis.
Ce dirigeant dont je tairai le nom, pour le moment, a soumis le père à un odieux chantage !
Après avoir déclaré au début qu'il ne connaissait aucun joueur de ce nom (gravissime), il demanda au père d'aller d'abord dénoncer dans la presse l'ancien président, et puis on verra , a-t-il dit... C'est honteux ! Zaki trouvera certainement un club, même s'il va passer une saison blanche. De nombreux Sanafir, solidaires avec le jeune Zaki, ont promis de tout faire pour porter son cas jusqu'à Serrar, Allik ou Hannachi. Zaki, le meilleur buteur de l'équipe Junior du CSC, avec 30 buts inscrits, possède tous les atouts pour jouer dans une équipe de nationale I.
Ceux qui l'ont froidement "exécuté" répondront de leurs actes, tôt ou tard. En tous les cas, ils viennent de prouver qu'ils n'ont ni le niveau, ni le talent de diriger un club aussi prestigieux que le CSC. Avec cette mentalité rétrograde, le CSC ne verra jamais le bout du tunnel dans lequel on l'a enterré.
Zaki, garde le moral ! Zaki, tu es un joueur exceptionnel et même si ta famille n'es pas riche, il viendra le jour où tout le monde sera fier de toi.Ce jour-là tu porteras, à coup sûr, les couleurs de l'équipe nationale !
Par M. Mebarki
