Le problème d’infrastructure persiste au niveau de la ville de Constantine avec pratiquement aucun stade fonctionnel. Celui de Hamlaoui continue à être un vrai «musée» qu’on ne peut utiliser, Benabdelmalek étant en partie démoli, le CSC est donc dans l’obligation de chercher dans les environs.

A quelques jours du début de la nouvelle saison, comment se présente votre équipe ?
Dans de fortes proportions, je dirai que nous sommes sur la bonne voie car un grand travail a été réalisé depuis le début de la phase préparatoire, mais ce n’est pas tout à fait au point.

Les camarades de Medjoudj ont bénéficié de trois jours de repos après le stage à Alger. La reprise s’est effectuée hier au niveau du stade de Teleghma.

Qu’en est-il de votre blessure ?
Ce n’est pas méchant. J’ai un étirement au niveau de la cuisse. Je suis soumis à des soins intensifs qui me permettront de reprendre avec mes coéquipiers sans accuser le moindre retard. Et c’est cela qui me réoccupe en premier lieu car je ne ne veux pas rater l’entame du championnat.

Qu’en est-il de votre blessure ?
Ce n’est pas méchant. J’ai un étirement au niveau de la cuisse. Je suis soumis à des soins intensifs qui me permettront de reprendre avec mes coéquipiers sans accuser le moindre retard. Et c’est cela qui me réoccupe en premier lieu car je ne ne veux pas rater l’entame du championnat.

Connu par tous et de tous, Mourad Mazar a atterri au CSC sans qu’il ait cette idée, au départ, de prendre les destinées du club déchiré par les luttes intestines. Prendre les rênes du CSC, de nos jours, est devenu une mission, pour certains, impossible; pour d’autres, un véritable défi.