Medjoudj :
Votre dernière défaite a, semble-t-il, laissé des traces…
On ne peut le cacher et nous avons passé une semaine assez difficile notamment sur le plan moral. Il nous fallait assez de ressources pour retrouver nos esprits et tenter de travailler dans la sérénité. Le climat était assez tendu d’où une pression difficilement surmontable.