Dix jours après son élection par les membres de l’assemblée générale, la nouvelle équipe dirigeante du CSC, à sa tête Ounis, semble trouver d’énormes difficultés à faire avancer les choses.

Le club mythique de l’antique Cirta qui vient de se doter d’un nouveau président, a fait couler beaucoup d’encre cette saison, notamment par la gestion anarchique du club cher aux Sanafir par le prédécesseur de Ounis qui ne songeait en réalité qu’au profit personnel au détriment de la notoriété du club..

De par sa carrière sportive en tant que joueur, Arama a été chargé par le président Ounis de prendre en charge le volet effectif. C’est ce qui l’a poussé à recevoir certains anciens avec qui il a eu à expliquer les opérations à venir.

Le nouveau comité installé par les membres de l’assemblée générale lors de sa dernière réunion est en train de tenter de remettre, ce qui peut l’être, sur rails. Des contraintes de tout ordre existent et cela freine les initiative.

Le milieu de terrain Djeffal, qui a brillé dans un passé récent au niveau du milieu du terrain clubiste et qui a dû quitter le club en restant en très bons termes avec les Sanafirs, va avoir l’opportunité de revenir.

Le besoin du CSC en gardiens de but ne fait aucun doute. Avec le maintien de Daif, auteur d’une saison exceptionnelle, l’actuel comité a émis le vœu d’enrôler au moins deux autres joueurs à ce poste.

Le centre-avant Djabelkheir, qui a dû mettre fin à son activité avec le club pour un problème relationnel avec Mazar bien avant la fin de saison, figurerait sur le calepin du nouveau président Ounis.

Dans le registre des éléments les plus convoités par la formation clubiste, figure en bonne place le milieu du terrain Jaafar Khellaf.

L’on a appris, de source proche du club constantinois, qu’avant de partir en Tunisie, pour un voyage éclair d’ordre familial.