L’un des postulants au poste de président, en l’occurrence M. Hachache, n’arrive pas à expliquer la tournure des évènements.

Dans la composition du bureau formant la commission de candidatures chargée de préparer l’assemblée générale de jeudi prochain, l’on a  constaté l’absence du directeur administratif, Milat.

Pour l’ex-président Boudjeraïou, la situation d’urgence que traverse le club était de nature à le pousser à revenir en tant que membre afin de prendre part au plan de sauvetage qui devrait être mis en place..

لجــنـة الـترشيـحـات تـستـنجـد بالرؤساء السابقين

عقدت أمس لجنة جمع الترشيحات لرئاسة شباب قسنطينة أول إجتماع لها بمقر النادي، وهذا لضبط برنامج عملها خلال هذا الأسبوع

Djamel Allam, le candidat venu du froid (Finlande) pour briguer le poste de président du doyen de l’est, a jeté un de ces… froids jeudi passé au cours de l’assemblée générale élective du CSC en retirant sa candidature.

Les Sanafir sont dans la tourmente. Leur club n’as pas encore trouvé preneur et le scénario catastrophe se profile à l’horizon. En effet, ce que redoutait l’ensemble des supporters s’est produit, puisque malgré le fait que  la date de clôture des dépôt de candidatures, prévue pour mercredi, a été prolongée à jeudi midi, à quelques heures de la tenue de l’assemblé générale, aucun postulant ne s’est présenté chez la commission chargée de collecter les candidatures.

Après avoir quitté la présidence du club, Boulhabib a préféré s’éloigner des affaires du club. Présent à la dernière assemblée générale, il a été prié de donner son avis sur la situation qui prévaut au sein du CSC. Comme à l’accoutumée, il a réussi à tenir en haleine les présents en faisant un bilan des plus significatifs de ce que traverse le CSC.

L’incapacité de doter le CSC d’un président est devenue une chose admise de tous du fait qu’à la même période, c’est le même scénario que vit le club. Les assemblées générales se succèdent mais sans pour autant trouver l’oiseau rare en mesure de redorer le blason du CSC..

Encore une fois, la énième AG élective, organisée jeudi dernier à la maison de jeunes de la cité Filali, n’a pas abouti à l’élection du président tant attendu depuis la démission de Ghoualmi en novembre 2006 car, depuis, le club n’a dû sa survie qu’au directoire mené par Boudjeriou et au comité de sauvegarde présidé par Bouhlassa, qui se sont succédé à la direction du club durant les deux dernières saisons.

Un scénario identique à celui de la saison écoulée où le CS Constantine s'est retrouvé sans postulants à la présidence lors de l'Assemblée générale élective tenue, ce jeudi, à la maison de jeunes Filali..